Oleron - Boyardville

OLERON - BOYARDVILLE

Descripción del puerto

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Les ports de plaisance de Saint-Georges d’Oléron

Deux charmants ports de plaisance pour des escales nature et patrimoine, agrémentés par de magnifiques plages de sable fin qui offrent un panorama exceptionnel sur Fort Boyard.

Port de Boyardville
Ce port ostréicole et mytilicole, base de construction du Fort Boyard, est situé à proximité de l’Île d’Aix, de l’Île Madame et du fort Boyard. Il s’agit d’un port à écluses, accessible à mi-marée par le chenal de la Perrotine qui permet un accueil de bateaux jusqu’à 14 m de long pour un tirant d’eau maxi de 2.20 m. Les horaires d’accès au port sont disponibles sur le site Internet du Département ou par téléphone à la capitainerie. Le port dispose d’un ponton d’attente dans le chenal (2h30 maxi).
Au cœur du village, vous trouverez toutes commodités en saison, location de vélos, bateaux et jets ski, restaurants ainsi qu’un marché tous les matins d’avril à septembre et également nocturne en juillet et août.

À ne pas manquer
Le Clapotis est un ancien baliseur construit en 1920 sur le port de Boyardville par Ismaël Poitou (amarré devant la capitainerie).
Visite du site ostréicole de Fort-Royer : au cœur d’une splendide réserve naturelle, le domaine ostréicole de Fort-Royer est un village traditionnel de cabanes colorées en bois au milieu des claires et chenaux.
L’église romane de Saint-Georges (XIe et XIIe siècles), édifice classé le plus ancien de l’île, retable et autel en bois de style Régence, statue légendaire de Notre Dame en l’Isle, figure de proue d’un bateau viking.
Les Halles, situées devant la façade de l’église, en bois avec toiture en ardoise, les halles furent construites en 1864 par Louis Vignal, un charpentier de St Pierre d’Oléron. Elles sont situées à la place de l’ancien cimetière.
La forêt des Saumonards en bordure de plage, magnifique domaine forestier et ses nombreuses espèces méditerranéennes est classé. Ce sont plus de 800 hectares de forêt qui, pour la plupart, ont été plantés par l’homme au début du XIXe siècle, afin de lutter contre l’invasion du sable.